Les couleurs et les encres en imprimerie

1 - LES COULEURS

La gestion des couleurs à travers la chaîne graphique est nécessaire pour la création et l’impression de vos documents. Les débutants découvrent alors un monde nouveau et effrayant, tandis que la plupart des graphistes confirmés le maitrise parfaitement.

Si vous regardez en profondeur vos applications de traitement des couleurs, vous verrez que plusieurs éléments de codage apparaissent lorsque vous en sélectionnez une. Ils indiquent la présence des différentes couleurs dans une nuance choisie.

Voyons cela en détail !

Qu'est-ce que le format CMJN ?

Le CMJN regroupe 4 couleurs que sont le Cyan, le Magenta, le Jaune et le Noir.

On l’appelle aussi couramment quadrichromie (« quadri » pour quatre, et « chromie » pour couleurs en grec). Vous pouvez aussi retrouver le sigle CMYK, qui est l’acronyme anglais de CMJN (Cyan-Magenta-Yellow-Key).

En résumé : pour l’impression avec de l’encre !
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Qu'est-ce qu'un fichier RVB ?

Le RVB est un mode colorimétrique utilisé en informatique et qui permet de coder une couleur. Le sigle RVB signifie Rouge-Vert-Bleu.

On emploie aussi le terme RGB (pour Red-Green-Blue en anglais).
Le mode RVB est idéal pour l’affichage des images à l’écran car son système de décomposition des couleurs est le même que celui du moniteur et son espace colorimétrique est plus lare que celui en CMJN.

Chaque pixel de l’écran est composé de ce mode colorimétrique. Quand les trois couleurs sont à 0 on obtient le noir, au contraire à 255, on obtient le blanc.

En résumé : pour les ecrans !

Qu'est-ce que l'espace colorimétrique Lab ?

Un type d’espace colorimétrique complémentaire qui exprime les coordonnées tridimensionnelles : dimension ‘L’ qui signifie légèreté et dimensions colorimétriques complémentaires ‘a’ et ‘ b ‘.

Il est conçu pour être approché comme une vision humaine, la valeur L représente toutes les couleurs que les gens peuvent voir. 

Il est considéré comme un modèle de couleur indépendant du périphérique et est souvent utilisé comme référence lors de la conversion d’un espace colorimétrique à un autre.

Qu’est-ce que qu’un code hexadécimal ?

En codage hexadécimal, comme en codage RVB, trois éléments viennent évaluer la quantité de couleur présente dans une nuance donnée. Le premier statue la quantité de rouge, le deuxième de vert, le dernier de bleu.

La différence avec les codes RVB, c’est qu’ils ne contiennent que deux chiffres par élément (#RRVVBB).

Pour parvenir à transformer un code RVB à neuf chiffres en un code hexadécimal à six chiffres, il faut utiliser un tableau de conversion : le codage hexadécimal comporte 16 valeurs numériques allant de 0 à F, le 0 étant compris dans ces valeurs.

En résumé : pour le WEB !

2 - LES ENCRES

Pour faire une encre, il y a quatre pigments cyan, magenta, jaune et noir (CMJN), au départ c’est une simple poudre.
Pour obtenir la bonne consistance pour l’utilisation en impression, les pigments sont combinés avec une substance ressemblant à du miel appelée le «véhicule».

les différentes couleurs d’encre ?

les couleurs primaires :

Une couleur primaire est dans un système de synthèse de couleurs, une couleur qui ne peut pas être reproduite par un mélange d’autres couleurs. Des couleurs sont dites primaires entre elles si aucune ne peut être reproduite par un mélange des autres. Quand on réalise un procédé de synthèse de couleurs, on choisit au moins trois primaires, en considérant les moyens techniques de les obtenir.
En photographie, en impression en couleurs, sur les écrans de télévision ou d’ordinateur, les couleurs primaires sont des conventions technologiques définies par des normes. Elles varient d’une application à l’autre. Elles n’ont pas de rapport avec la sensibilité particulière des trois types de cônes de l’œil1. Elles peuvent changer dans des limites qui dépendent de l’application qui en est faite.
Dans les applications industrielles modernes de la synthèse additive des couleurs, on prend une primaire dans chacun des champs chromatiques rouge, vert et bleu. Quand la synthèse dite soustractive s’effectue à partir de colorants sur blanc, on utilise un jaune, couleur complémentaire du bleu, un rouge violacé appelé magenta, complémentaire du vert, et un bleu tirant sur le vert, appelé cyan, complémentaire du rouge primaire.

les Pantones :

L’idée de base est de fournir aux imprimeurs la gamme la plus large de couleurs pures, utilisées en fonction des besoins pour des impressions le plus souvent en aplat ou éventuellement tramées.

L’utilisation d’une encre de couleur spécifique permet d’obtenir le résultat attendu, contrairement à la quadrichromie utilisant les trois couleurs primaires (cyan, magenta, jaune) ainsi que le noir, et dont on sait qu’il permet de reproduire par mélanges toutes les autres teintes de couleurs, mais avec des incertitudes quant au rendu lorsqu’on désire avoir une couleur très précise (variations de la trame sur chaque couleur, variations d’encrage de la machine, etc.). Contrairement à la quadrichromie, où les couleurs sont imprimées une par une (leur synthèse soustractive rendant finalement la couleur voulue), les couleurs du système Pantone sont obtenues à partir d’encres mélangées par le pressier avant d’imprimer.

Le principe du Pantone d’origine repose sur dix couleurs de base :
• noir primaire (black)
• blanc transparent (white transparent) pour éclaircir la couleur
• jaune primaire (yellow)
• rouge (bright red)
   ◦ rouge chaud (warm red)
   ◦ rouge rubis (rubine red)
   ◦ rouge rhodamine (rhodamine red), ou magenta
• rose (pink)
• violet (purple)
• bleu (dark blue)
   ◦ bleu réflexe (reflex blue), sorte de bleu indigo très pur
   ◦ bleu primaire (process blue), plus soutenu que le cyan
• vert (green)

Le nuancier Pantone, que les imprimeurs appellent aussi « pantonier » et qui ne comprend pas moins de huit cents teintes, donne les proportions de chacune de ces dix teintes de base. Certaines couleurs sont obtenues soit avec deux primaires (une teinte pure et un dopage soit transparent pour éclaircir, soit noir pour assombrir), soit avec trois primaires (deux teintes et un dopage), soit avec quatre primaires (trois teintes et un dopage).

Dans les années 1980 et 1990, le système Pantone vient s’enrichir de cinq couleurs de base supplémentaires
• rouge 032 (rouge pur)
• orange 021 (orange pur)
• jaune 012 (un jaune plus soutenu que le jaune primaire)
• violet
• bleu 072 (un bleu moins violacé que le reflex blue)

Ce qui porte à dix-huit les couleurs de base. Le nuancier est également étoffé avec des teintes fluorescentes et des nuances intermédiaires qui obligent à passer de trois à quatre chiffres le codage des couleurs supplémentaires. Pour garder la compatibilité en amont, les huit cents couleurs du premier nuancier continuent à être codées sur trois chiffres. Ainsi le Pantone 3005 est une nuance intermédiaire entre le Pantone 300 et le Pantone 301.
Dans les années 1990, Pantone invente un nouveau procédé de séparation des couleurs d’imprimerie, l’hexachromie, qui permet de reproduire un plus grand nombre de nuances (en particulier les teintes impossibles à réaliser en quadrichromie comme l’orange et le violet). Ce procédé nécessite un système d’impression à six unités d’encrage et des logiciels spécifiques pour la séparation en six couleurs. Les six couleurs primaires de l’hexachromie sont : noir, cyan, magenta, jaune, orange et vert. Suivant les cas, le vert peut être remplacé par le bleu reflex.
Les teintes Pantone sont des couleurs normalisées et référencées dans un échantillonnage appelé nuancier ou « pantonier ». Elles sont principalement utilisées en imprimerie car le spectre CMJN ne permet pas d’obtenir toutes les teintes. Aussi, il convient souvent d’adjoindre à l’impression une cinquième voire une sixième teinte (ou plus) dite solide.

Elles relèvent de plusieurs gammes :

Pantone C (coated), pour le papier couché
Pantone U (uncoated), pour le papier non couché
Pantone M (matted), pour le papier mat

En amont de la production de ces couleurs, il y a les guides Pantone, feuilles cartonnées de 15 × 5 cm imprimées d’un côté avec une série de couleurs de même tonalité, et reliées en opuscule. Une page donnerait par exemple toutes les variantes de jaune, du clair au foncé. Les livrets sont réimprimés annuellement pour éviter que les couleurs ne se délavent avec le temps. Les valeurs assignées aux différentes couleurs peuvent également varier avec le temps et les rééditions.
L’idée de base du système Pantone est de choisir une couleur d’après les guides, et d’utiliser les nombres correspondants pour obtenir la variante correspondante (par exemple en demandant du « Pantone 655 »). La correspondance entre ordinateurs (qui utilisent le système Rouge vert bleu – RVB) et machines d’impression (sous CMJN) est encore aujourd’hui approximative.

le benday :

Le Benday permet de colorier des zones avec une superposition des couleurs primaires plus ou moins tramées (magenta, jaune, cyan et noir). Une teinte à 100 % ne comporte pas de trame, c’est un aplat.
Chaque zone colorée de l’illustration est une superposition de valeurs de trames (généralement séparée par un trait noir), qui donnent la sensation d’avoir des aplats de couleurs juxtaposés.
Une teinte descendue à 50 % comporte 50 % de blanc (blanc papier) et 50 % de couleur ce qui a pour effet d’atténuer la couleur. Par effet d’optique, il se créé un mélange des points de trame et du blanc du papier.
Par exemple un noir à 50 % devient gris, un jaune + un magenta donnent un orange de différente densité selon les valeurs de la trame. Plus le pourcentage de trame est élevé et plus la teinte est foncée, plus la trame est faible, plus la teinte est claire.
Le Benday peut s’obtenir avec 1, 2, 3 ou 4 couleurs.
Le Benday permet d’obtenir diverses nuances d’une même couleur, et des nuances intermédiaires entre deux couleurs. Les teintes obtenues par ce mélange tramé avec des couleurs primaires se différencient des teintes Pantone®.
Cette méthode de photogravure sans opération photo ne permet pas d’obtenir des dégradés ou de reproduire des photos.
Les trames doivent être orientées selon des angles différents pour éviter les effets de moirage. Attention également aux superpositions de pourcentages de points dont la somme ne doit pas dépasser un certain chiffre pour pouvoir imprimer sur papier, chiffre différent selon chaque support (papier couché ou papier journal, etc). Pour pallier ce problème, on aura recours au retrait sous couleurs.
Il existe des nuanciers Benday (imprimés sur papier couché ou sur papier non couché), qui par un système de grilles (lignes et colonnes) permettent de visualiser une déclinaison de superpositions de couleurs primaires selon différentes valeurs de trame.

Comment obtient-on les encres d’imprimeries et de quoi sont-elles faites ?

Les encres d’imprimerie sont constituées par deux produits principaux : une matière solide, ou pigment, qui donne la couleur ; un véhicule, partie fluide, visqueuse ou pâteuse, liant ou solvant, dans laquelle le pigment est intimement incorporé. Les pigments sont des colorants minéraux en poudre très fine (noir de carbone, bleu de Prusse, jaune de chrome, etc.), des laques obtenues en partant de colorants d’aniline, des pigments organiques. Ce n’est qu’après cuisson, broyage, mélange, ainsi qu’un test complet que l’encre peut être considérée comme un produit finalisé.
Les encres classiques étaient uniquement des encres grasses, contenant des huiles ou des vernis à base d’huile ; des vernis synthétiques les remplacent aujourd’hui en partie. Dans les encres utilisées en héliogravure, d’une fluidité qui leur permet de pénétrer dans la gravure en creux des cylindres, l’ensemble pigment-vernis est dissous dans un mélange d’hydrocarbures volatils. On améliore les conditions d’emploi grâce aux encres à séchage rapide.

La matière colorante représente 20 % du produit final. Il s’agit de pigment très fin en suspension dans le véhicule, même si on peut aussi utiliser des colorants qui ont un meilleur rendu de couleur.

Le véhicule, qui est environ 70% dans la composition de l’encre, est la phase fluide du produit. Ce mélange de polymères, de diluant et/ou de solvant sert à transporter les pigments sur le support papier et à les fixer. Selon le type de véhicule utilisé, le mode de séchage et les principales caractéristiques du film d’encre seront différents.

Les additifs représentent environ 10% du produit final et permettent d’optimiser les caractéristiques de l’encre pendant et après l’impression. Il s’agit notamment de cires (animales, végétales, minérales ou synthétiques), de sels de métaux et de composés anti-maculants.

Les différents types d’encres

Les encres dites “classiques”

L’encre en Offset : c’est une encre grasse et qui ne coule pas. Sa composition chimique et son degré de viscosité dépendent du mode de séchage. Il y a de nombreuses couleurs possibles. En Offset, il y a 3 autres encres : l’encre Quickset, l’encre Heatset et l’encre U.V.

L’encre Quickset : est utilisée sur des machines offset à feuille. L’encre composée de résines synthé- tiques, possédant des qualités filmogènes particulières est caractérisée par sa rapidité de séchage.

L’encre Heatset : est utilisée sur des machines rotatives à bobines. L’encre utilisée se caractérise par une grande brillance et une grande rapidité de séchage. Egalement composée d’un pigment et d’une résine solide diluée sous l’action d’un hydrocarbure, l’encre heatset présente un faible tirant et un fort pourcentage de résine, d’où une grande facilité à libérer les huiles minérales lors de son séchage.

L’encre U.V. : c’est l’apport d’énergie permettant le changement d’état du film d’encre de l’état liquide à l’état solide provient des rayons ultraviolets. Ces encres U.V. ne sont pas nocives, mais peuvent être irritantes et allergisantes.

Composants d’encres d’impression

Les principaux composants de l’encre d’impression sont :

Elles constituant de 5 à 30 % d’encre. Ce sont généralement des pigments, des colorants ou des lacs. Les pigments sont des substances solides finement déchiquetées qui ne se dissolvent pas dans le liant, mais y sont dispersées. Alors que les colorants sont des substances qui sont complètement solubles dans le liant. La dernière substance colorante est le lac. Ce sont des colorants précipités du solvant à une forme solide, qui acquièrent ainsi des propriétés similaires aux pigments. En règle générale, on peut observer qu’une concentration plus élevée d’un colorant spécifique affectée de la couleur. En pratique, cependant, des concentrations optimales de substances colorantes sont utilisées, au-dessus desquelles aucun changement de couleur n’est observé.

Constitue de 15 à 50 %de la composition de l’encre. Il est conçu pour mouiller le pigment, ce qui facilite la dispersion de ses particules. C’est l’adhésif qui détermine les propriétés d’impression de l’encre, ainsi que la façon dont elle se trouve au substrat. Ces substances offrent en outre une brillance et une résistance à l’usure adéquates. Habituellement, divers types de résines sont utilisés comme liants. Le Groupe PCC propose une gamme de produits utilisés comme intermédiaires pour la préparation des résines de base. Ils sont ensuite mélangés avec les additifs appropriés pour obtenir l’encre finale. Ces produits comprennent les Rokopol® D2002 et Rokopol® LDB ( 2000D, 4000D, 8000D et 12000D ). À mesure que le poids moléculaire augmente, ils deviennent de plus en plus hydrophobes et leur réactivité diminue. Cela vous permet de choisir la bonne composition en fonction des paramètres finaux attendus de l’encre. De plus, les produits Rokopol® peuvent être utilisés comme intermédiaires pour connecter des groupes fonctionnels réactifs utilisés dans d’autres technologies que le polyuréthane.

Ce sont des substances appliquées pour dissoudre le liant et se mélanger avec les autres composants de la peinture. Le diluant représente généralement 15 à 65 %de la composition de peinture. En raison de ses propriétés chimiques, le dichloropropane (DCP) fonctionne très bien comme solvant dans les encres d’impression. C’est un liquide incolore sans impuretés mécaniques avec une odeur caractéristique. Le DCP peut remplacer avec succès les solvants organiques tels que le toluène, l’acétone et d’autres dérivés du xylène, tout en ayant un prix stable.

Affectent les propriétés utilisables de la peinture. Habituellement, ils ne dépassent pas 10 %de la composition. Le produit EXOdis PC30 peut être utilisé comme additif de dispersion pour toutes sortes de peintures à base d’eau et d’encres d’impression. EXOdis PC30 offre une excellente stabilisation finale des produits de teinture mêmes en petites concentrations. En revanche, les produits ROKAdis 900 et ROKAdis 905 , en plus de leurs capacités de dispersion, sont également les agents agents mouillants. Pour cette raison, ils peuvent être utilisés dans la production d’encres d’impression et d’encres, assurant une bonne dispersion des pigments qui sont des composants de colorants.

On utilise quoi comme encre pour du numérique ?

La tendance à réduire le nombre d’impressions, et d’autre part, un nombre croissant de commandes d’impression et de personnalisation du contenu, favorisent l’utilisation d’impressions numériques.

De plus, l’impression numérique permet un gain de temps substantiel, grâce à une production accélérée et une adaptation plus facile en fonction de la commande. Les systèmes d’impression numérique ont également un avantage sur l’impression traditionnelle qui consiste à imprimer du matériel publicitaire ou des étiquettes. De plus, les progrès technologiques continus soutiennent toujours la qualité d’impression et la vitesse du processus, ce qui se traduit directement par des économies de coûts.

L'encre toner c’est quoi ?

Le toner est une encre en poudre utilisée dans les imprimantes laser, les imprimantes LED et les photocopieurs pour imprimer du texte et des images sur du papier par électrophotographie. Cette poudre est constituée en majeure partie de particules ultrafines de matière plastique, de résine et de métaux ou métalloïdes.
C’est une poudre dont les grains ont une échelle ultrafine à nanométrique et qui, grâce à sa texture, se comporte presque comme un liquide. Les toners contiennent un nombre croissant de nanomatériaux qui ont amélioré la qualité de l’impression, mais qui sont en partie libérés dans l’air sous forme de déchets nanoparticulaires en quantité dispersée, qui interagissent synergiquement entre eux et avec d’autres co-polluants, pour produire un cocktail jugé, en 2017, préoccupant pour la santé humaine par les scientifiques qui cherchent à évaluer leurs effets toxicologiques.

encre Cyan Magenta Jaune Noir

Couleurs et toners spéciaux

Les toners en poudre mis sur le marché sont majoritairement de couleur noire.
Des pigments de couleur primaire permettent à l’imprimante ou au photocopieur de générer (par mélange et contrôle de l’intensité) différentes couleurs via un procédé de quadrichromie à partir des toners noir, cyan, magenta et jaune. Certaines machines peuvent ajouter du blanc et/ou un vernis par exemple polymérisé par des ultraviolets.

2 réflexions sur “Les couleurs et les encres en imprimerie”

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